Les plus jeunes d’entre vous ne peuvent pas le savoir, mais il fut un temps où les jeux Silent Hill étaient vraiment bons. Le deuxième volet de la série, sur PS2, se hisse même parmi les tous meilleurs jeux horrifiques jamais conçus, principalement grâce à son scénario truffé de références à la psychologie collective, dérangeants et malsains, ainsi qu’à ses musiques si uniques et à son esthétique crade à souhait (c’est d’ailleurs dans cet épisode qu’apparaîtra pour la première fois le célèbre Pyramid Head dans un rôle des plus glauques…).
Aussi, on ne peut que saluer les corones des développeurs pour avoir osé planquer dans un tel titre une fin alternative totalement débile, en total décalage avec le reste du jeu. Culte !