War of Gods
La licence God of War est bankable. Elle s’est imposée grâce au bon cocktail d’ingrédients en commençant par un énorme travail de narration. Les développeurs ont pris des libertés pour adapter toutes les légendes et histoires de la mythologie grecque, et ils ont réussi à établir un univers cohérent. Le gameplay simple, permissif et accessible au bout de quelques minutes a permis à un grand nombre de joueurs de profiter pleinement du Spartiate enragé. Le plaisir lors de l’exécution des QTE est sans équivalent. Au niveau de la réalisation, on peut dire qu’elle est quasi-irréprochable. Les jeux sont tous beaux, les plans fixes contribuent à l’aspect général et on ne peste que très rarement contre un mauvais placement de caméra. Et au niveau de la partie sonore, on s’en prend plein les esgourdes quel que soit l’épisode, même si j’ai moins aimé les musiques de God of War : Ascension.
Kratos est devenu une des figures de proue de la maison PlayStation (avec Nathan Drake d’Uncharted) et on ne l’abandonnera pas de sitôt. On verra ce que PlayStation et ses équipes de développent nous réservent mais soyez sûrs que si ça bouge, je vous préviendrai. God of War est un incontournable.
Si vous êtes arrivés jusqu’à la fin de ce dossier, sans sauter de ligne, je vous félicite et espère qu’il vous aura plu. N’hésitez pas à témoigner de votre propre expérience sur God of War, je vous ai donné mon point de vue de joueur qui adore la licence. Investissez dans un meilleur Premium et votez Café Gaming !