A la veille de l’ouverture du salon Paris Games Week, organisé par le SELL, j’ai peine à le dire : je ne partage pas franchement l’euphorie collective. D’une part, car l’histoire a déjà démontré qu’une débauche de moyens et de communication n’ont jamais nécessairement fait un bon salon (on en jugera dans quelques jours) ; d’autre part car ce salon, c’était la volonté, que dis-je, le caprice affiché, d’un seul homme : Jean-Claude Larue, délégué général du SELL ayant accumulé, ces dernières années, les propos méprisants et insultants envers l’industrie vidéoludique française.